Envie de faire parti de mes amis : http://bit.ly/S1scrire Si vous lisez ce message, ce n’est pas le fruit du hasard, c’est qu’à un moment ou un autre, nous avons été en contact via les réseaux sociaux. Peut-être sommes-nous déjà amis ici même sur cette page, ou mieux encore nous nous connaissons dans la vraie vie.
Quoiqu’il en soit, je suis très heureux de vous recevoir ici chez moi à travers cette nouvelle capsule vidéo afin de vous parler du grand projet que je vous prépare pour la rentrée prochaine. En moins de 10 minutes chrono, vous allez tout savoir sur ce qui risque vraiment de changer bien des choses sur votre manière d’appréhender la vie. Aussi avant d’entrer dans les détails et de vous apporter une explication sur cet ambitieux projet, je tiens à vous dire que je souhaite vraiment tisser un lien fort entre nous. Toutefois, si cela n’est pas réciproque, ne perdez pas votre temps et quitter immédiatement cette vidéo car le contenu de ce message ne vous apportera rien de plus. Pour les autres, je me réjouis d’avance de notre échange, restez attentif car je vous explique tout, en image… Envie de faire parti de mes amis : http://bit.ly/S1scrire Considérons pourtant les malades que l'on appelle mélancoliques ; nous verrons qu'ils savent trouver en n'importe quelle pensée des raisons d'être tristes ; toute parole les blesse ; si vous les plaignez, ils se sentent humiliés et malheureux sans remède ; si vous ne les plaignez pas, ils se disent qu'ils n'ont plus d'amis et qu'ils sont seuls au monde. Ainsi cette agitation des pensées ne sert qu'à rappeler leur attention sur l'état désagréable où la maladie les tient ; et, dans le moment où ils argumentent contre eux-mêmes, et sont écrasés par les raisons qu'ils croient avoir d'être tristes, ils ne font que remâcher leur tristesse en vrais gourmets. Il y a quelque temps, je voyais un ami qui souffrait d'un caillou dans le rein, et qui était d'humeur assez sombre. Chacun sait que ce genre de maladie rend triste ; comme je le lui disais, il en tomba d'accord ; d'où je conclus enfin : « Puisque vous savez que cette maladie rend triste vous ne devez point vous étonner d'être triste, ni en prendre de l'humeur. » Ce beau raisonnement le fit rire de bon cœur, ce qui n'était pas un petit résultat. Il n'en est pas moins vrai que, sous cette forme un peu ridicule, je disais une chose d'importance, et trop rarement considérée par ceux qui ont des malheurs. La profonde tristesse résulte toujours d'un état maladif du corps ; tant qu'un chagrin n'est pas maladie, il nous laisse bientôt des instants de paix, et bien plus que nous ne croyons ; et la pensée même d'un malheur étonne plutôt qu'elle n'afflige, tant que la fatigue, ou quelque caillou logé quelque part, ne vient pas aggraver nos pensées. La plupart des hommes nient cela, et soutiennent que ce qui les fait souffrir dans le malheur, c'est la pensée même de leur malheur ; et j'avoue que, lorsque l'on est malheureux soi-même, il est bien difficile de ne pas croire que certaines images ont comme des griffes et des piquants, et nous torturent par elles-mêmes. Or, les mélancoliques nous offrent une image grossie de tout homme affligé. Ce qui est évident chez eux, que leur tristesse est maladie, doit être vrai chez tous ; l'exaspération des peines vient sans doute de tous les raisonnements que nous y mettons, et par lesquels nous nous tâtons, en quelque sorte, à l'endroit sensible. De cette espèce de folie, qui porte les passions jusqu'à la rage, on peut se délivrer en se disant, justement, que tristesse n'est que maladie, et doit être supportée comme maladie, sans tant de raisonnements et de raisons. Par là on disperse le cortège des discours acides ; on prend son chagrin comme un mal de ventre ; on arrive à une mélancolie muette, à une espèce de stupeur presque sans conscience ; on n'accuse plus ; on supporte ; cependant on se repose, et ainsi on combat la tristesse justement comme il fallait. C'est à quoi tendait la prière, et ce n'était pas mal trouvé ; devant l'immensité de l'objet, devant cette sagesse qui sait tout et qui a tout pesé, devant cette majesté incompréhensible, devant cette justice impénétrable, l'homme pieux renonçait à former des pensées ; il n'y a certainement point de prière, faite de bonne volonté, qui n'ait aussitôt obtenu beaucoup ; vaincre fureur, c'est beaucoup ; mais on arrive aussi, par bon sens, à se donner cette espèce d'opium d'imagination qui nous détourne de compter nos malheurs. 6 février 1911 Alain Émile Chartier (1868-1951) Propos sur le bonheur (1928) ► DIEU : Vous postez en façade de votre mur, la phrase suivante : « Tout est possible pour celui qui a la foi ». S’agit-il d’une citation figurative ou d’un véritable message ? Croyez-vous en Dieu ?
Oui, absolument. Je crois en Dieu. En un seul Dieu, existant de toute éternité en trois personnes : le Père le Fils et le Saint-Esprit. Un Dieu, Créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles, révélé en Jésus-Christ le Fils unique, par le moyen des Écritures. Références bibliques :1 Corinthiens chapitre 8 verset 6, Colossiens ch.1 v.16, Hébreux ch.1 v 2,Matthieu ch.28 v.19, 2 Corinthiens ch.13 v.1. ► LES SAINTES ÉCRITURES Ne croyez-vous pas que les écritures sont une accumulation de récits romancés, un meeting pot d’histoires sans véritable fondement, sans preuve historique ? Non, pas du tout. Je crois que les Écritures, constituées des soixante-six livres de l'Ancien et du Nouveau Testament, sont la Parole de Dieu ; elles détiennent leur inspiration et leur autorité de Dieu seul ; elles sont infaillibles et seule norme pour la vie et la foi de l'Église. Il en découle que, ni les coutumes ni les décrets, ni les visions ni les miracles, ni aucune autre révélation ni tradition ne sauraient modifier ou compléter les Écritures. Toutes choses doivent être examinées, réglées et réformées d'après les Écritures qui contiennent tout ce qui est nécessaire au salut et à l'édification de l'Église. Références bibliques : 2 Timothée chapitre 3 versets15-17, 2 Pierre ch.1 v.20, 21,1 Corinthiens ch.15 v.1,2. ► L'HOMME : Et l’homme dans tout cela, que croyez-vous de l’homme ? Descends-t-il du singe comme l’affirme la théorie évolutive de Darwin ou au contraire est-il une création divine ? Je crois que l'homme et la femme ont été créés par Dieu à son image et à sa ressemblance. L'être humain, créé pur et innocent, est tombé dans le péché par transgression volontaire. Il est aussi tombé dans la désobéissance sous l'influence de Satan ; et l'humanité entière s'est éloignée de Dieu et demeure sous la domination du péché et dans la condamnation. Je crois que l'être humain est aimé de Dieu, et qu'il est appelé à changer de vie et à se convertir pour rétablir une relation vraie et juste avec Dieu et son prochain. Je crois à la dignité de la vie et du corps humain, du mariage et de la famille, de l'éducation et du travail, telle qu'elle est proclamée et protégée par les commandements de Dieu. Références bibliques : Genèse chapitre 1 verset 26, Genèse ch. 3 v.17, Romains ch. 5 v.12, Actes ch.3 v.19, Hébreux ch.13 v.4, Éphésiens ch.6 v.1-4. ► JÉSUS-CHRIST : Croyez-vous en Jésus-Christ ? Qui est-il pour vous ? Que représente-t-il au juste ? Est-il vraiment le fils de Dieu ? N’est-ce pas simplement là, un formidable orateur, un parfait communicant ? Oui, je crois en Jésus-Christ, le Fils unique, Dieu manifesté en chair, né d'une vierge, Marie de Nazareth, par le pouvoir du Saint-Esprit, venu du Père avec la nature divine et la nature humaine sans péché. Jésus est mort crucifié pour l'accomplissement des Écritures et selon le dessein arrêté de Dieu. Je crois au sacrifice de sa vie parfaite, offerte une fois pour toutes sur la croix, et par lequel nous avons le pardon des de nos péchés, la réconciliation avec Dieu, pour que nous ayons la vie éternelle. Je crois à sa résurrection d'entre les morts, à son ascension corporelle auprès de son Père, à son autorité suprême, et à sa médiation auprès du Père en faveur des hommes. Je crois que Jésus-Christ apparaîtra une seconde fois pour faire entrer l'Église dans son royaume éternel, pour ressusciter tous les hommes, et pour juger les vivants et les morts, mais personne ne connaît le jour et l'heure de son avènement. Références bibliques : Galates chapitre 4 verset 4, Philippiens ch.2 v.6 à 11, 2 Corinthiens ch.5 v.19,Romains ch.8 v.34, 1 Thessaloniciens ch.4 v.16, Matthieu ch.24 v.30-36. ► LE SALUT : En matière de « Salut », que croyez-vous ? Sommes-nous tous perdus ? Je crois que tout être humain peut être pardonné de ses péchés et devenir ainsi, juste devant Dieu, et cela par la seule grâce de Dieu que nous recevons par la seule foi en Jésus-Christ, c’est aussi simple que cela. Je crois que tout homme, justifié par la foi, reçoit la possibilité de se détourner de ses péchés et de vivre une vie sainte et pure par l'action du Saint-Esprit et de la Parole de Dieu qui demeurent en lui. Je crois que le baptême, ordonné par Jésus-Christ, - signifiant, par l'immersion, « la mort et la résurrection » -, est le témoignage de la foi, du libre engagement envers Jésus-Christ et sa Parole, et du passage de la mort spirituelle à une vie nouvelle avec Dieu. Références bibliques : Actes chapitre 26 verset 18,Ephésiens ch.2 v. 8, 1 Pierre ch.1 v.15 à 23, Romains ch.6 v.4, 1 Pierre ch.3 v.21. ► LE SAINT-ESPRIT : Croyez-vous au Saint-esprit ? Que représente-t-il concrètement ? Comment se manifeste-t-il ? Plus que jamais car au delà de le croire, je le vis, le ressent et m’inspire. Je crois en l'Esprit-Saint au Saint-Esprit, présence souveraine de Dieu qui a inspiré les prophètes et les apôtres de la Bible. Il demeure dans chaque croyant pour lui révéler en Jésus, l'envoyé du Père, les vérités de l'Écriture, et pour lui communiquer l'amour, la sagesse et la paix. Je crois que le baptême dans l'Esprit-Saint est une promesse. Pour les chrétiens de tous les siècles ; il est donné par le Père et le Fils, et il est manifesté par le parler en langues comme au jour de la Pentecôte, selon le récit du Nouveau Testament. Je crois que le baptême dans le Saint-Esprit est une grâce qui édifie l'Église dans sa piété, et lui donne une force pour sa mission : annoncer l'Évangile à toutes les nations. Je crois aux dons spirituels (ou charismes) cités dans les Écritures, et que le Saint-Esprit accorde à l'Église, pour secourir et construire sa piété. Je crois que les dons du Saint-Esprit doivent être exercés dans l'Église, selon la dignité et l'ordre commandés par le Nouveau Testament. Le baptême dans le Saint-Esprit et les divers dons spirituels laissent les croyants qui les manifestent maîtres et responsables d'eux-mêmes ; et ils ne poussent jamais à des extravagances, ni à des comportements ou des enseignements contraires aux Écritures. Références bibliques : Jean chapitre 16 versets 13 à 15, Galates ch.5 v.22, Actes ch.2 v.4 à 8, et 38 à 39, Actes ch.1 v.8, 1 Corinthiens ch.14. ► L'EGLISE : Et l’église dans tout cela ? Que pensez-vous du rôle de l’église ? À quoi sert-elle au juste ? En avons-nous vraiment besoin ? Je crois que l'Église est l'Assemblée des croyants qui gardent la foi en Jésus-Christ, le témoignage et l'enseignement des apôtres, ainsi que la prière. Je crois que l'Église est construite par Jésus-Christ, son chef suprême. Ses serviteurs sont chargés de l'enseigner, pour qu'elle témoigne de la foi, de l'espérance et de l'amour aux hommes et aux femmes de ce monde, par la présence de Dieu. Je crois que l'Église locale, l’église de proximité est l'expression visible de l'Église universelle. L'Église universelle est par définition le corps de Jésus- Christ qui ne peut être délimitée par les dénominations religieuses de la chrétienté. Par ses Assemblées autour des Saintes Écritures, elle construit et réalise son unité de foi, sa vie de piété, et sa vocation missionnaire. Je crois que le repas de la Cène, institué par Jésus-Christ, doit être perpétué dans l'Église jusqu'à son avènement, avec le pain et le vin, en mémoire de sa mort expiatoire comme un signe de communion avec le Christ Sauveur, comme célébration et action de grâces envers l'amour de Dieu le Père. Je crois que la prière pour la guérison des malades est une mission de l'Église qui est associée à la prédication de l'Évangile. Cette prière peut s'accompagner des gestes symboliques comme l'imposition des mains ou de l'onction d'huile, selon les enseignements de Jésus-Christ. Sans l'opposer à la médecine, et sans fanatisme, je crois que la prière pour les malades et les affligés, a toujours sa place dans l'annonce de l'Évangile du Dieu compatissant. Références bibliques : Actes des apôtres chapitre 2 versets.41 et 42, Éphésiens ch.4 v.11 à 15, Matthieu ch.26 v.26 à 29, 1 Corinthiens ch.10 v.16 à 17, Marc ch.16 v.15 à 18, Jacques ch.5 v.14. ► L'ESPÉRANCE Pour conclure et revenir sur votre citation « Tout est possible pour celui qui a la foi ». Croyez-vous sincèrement que « tout est vraiment possible ? » Cela ne nous rendra pas celles et ceux qui sont partis. Cela ne supprimera pas non plus tout le mal dont nous souffrons ? Et puis, en quoi la foi change quelque chose à tout cela ? Je crois que ceux qui meurent avec la foi en Jésus-Christ sont avec le Seigneur dès leur trépas, dans l'attente de la résurrection. Je crois à la résurrection de tous les humains et au jugement final. Ceux qui auront cru en Jésus-Christ vivront éternellement dans le Royaume de Dieu. Les rebelles à Dieu subiront le châtiment éternel décrit dans l'Évangile de Jésus-Christ. Je crois que vous devez prendre le temps de vous poser et de réfléchir. Tout est une question de foi et de choix. Moi, j’ai choisi Jésus-Christ pour le bien qu’il procure. Il est le chemin, le seul qui mène à Dieu. Réfléchissez un instant et cherchez à comprendre. Demandez, vous recevrez ! Références bibliques : Luc chapitre 23 verset 43, 2 Corinthiens ch.5 v.1 à 10, 1 Corinthiens ch.15 v.42 à 44, Apocalypse ch.20 v.11-15. |
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