Tout le monde (ou presque) sera d’accord pour dire que la marche solo ou en groupe est bon pour la santé. Mais saviez-vous que « marcher » vous aide à régénérer les cellules de votre cerveau ? Marcher favorise l’élimination des soucis et soigne même le stress. Effet garanti ! Vous devez garder à l’esprit que certaines habitudes font que votre cerveau finit par « s’automatiser ». Ce conditionnement involontaire provoque, chez vous, comme la plupart d’entre nous, un stress important. La routine devient alors, un ennemi récurrent pour votre cerveau. Le simple fait de réaliser les mêmes choses, tous les jours, aux mêmes moments, vous entraine dans une sorte de dépression et de découragement. En effet, petit à petit, par manque de créativité, de réflexion ou simplement par une inactivité constante, votre cerveau devient de plus en plus lent. Et curieusement se fatigue et s’affaiblit. Selon les affirmations du docteur José Ángel Obeso, spécialiste en neurologie et directeur de HM Cinac, on retrouve plus de cas de stress et de dépression sur des sujets propices au conditionnement urbain. Ce phénomène se traduit par des personnes vivantes dans de grandes villes urbanisées, cernées par la pollution. Ces personnes consacrent alors que très peu de temps à leurs besoins personnels, plus préoccupées par des temps de transport importants et un travail peu motivant. Se libérer par la marche : « Dans la majeure partie des cas, les marcheurs ne sont pas des compétiteurs. Ils n’ont pas d’obligations de résultats, ni de victoire à afficher, seulement le plaisir de se libérer l’esprit en marchant ». Toujours, selon le docteur José Ángel Obeso, les bienfaits ne se remarquent pas le premier jour. Quand les patients marchent de façon régulière (après quelques semaines) et qu’ils en font une habitude de vie, tout se transforme en eux. C’est alors que nous pouvons commencer à remarquer les résultats thérapeutiques suivants : 1. Lorsque vous marchez, votre cerveau ne se préoccupe de rien : La marche est une activité gratuite à la portée de tous. Elle permet de recevoir une dose « extra » d’oxygène et d’air pur. C’est bon pour le souffle, l’organisme et c’est 100% naturelle. C’est en marchant que vous commencez à stimuler votre lobe frontal, celui qui est en lien avec la créativité et le moral. Si à cela vous ajoutez la libération naturelle d’endorphines, la magie se produit comme par miracle. Votre cerveau se sent alors plus euphorique et développe, chez vous, une attitude plus optimiste. 2. Grâce à un meilleur moral, une douce transformation s’opère en vous par une augmentation de votre créativité : Finis la pression, vous laissez tomber toutes pensées négatives et commencez même à retrouver le sourire. L’hormone « cortisol » que vous sécrétez anormalement, à cause du stress, finit par disparaître. Vous vous sentez plus détendu, plus enthousiaste, et surtout plus confiant en votre avenir. 3. Vous êtes habitués à bouger dans de petits espaces : Votre foyer, votre travail, les restaurants, les supermarchés et d’autres lieux que vous fréquentez, sont autant d’espaces limités dans lesquels, habituellement, s’allument les tensions. Cependant, le simple fait de commencer à marcher dans un environnement spacieux, ouvert au milieu naturel, est un acte merveilleux de libération et de détente. 4. Avant toutes choses, vous devez chercher le contact réel avec la nature : L’idéal est de remplir vos poumons d’oxygène frais et pur. Profitez-en pour lever la tête et découvrir de nouveaux horizons, des paysages stimulants grâce auxquels votre cerveau se stimulera et s’enrichira de mille façons. Soyez conscient que marcher est bien plus efficace qu’un analgésique ou n’importe quelle vitamine. Profitez-en, marcher sous la pluie ou sous le soleil, à l’abri des arbres ou dans le vent ; peu importe, soyez heureux et marcher ! 🎁 Devenez un(e) lecteur (trice) privilégié (e) en vous inscrivant gratuitement à ma liste d’amis. Vous êtes certain(e) de recevoir en priorité mes dernières infos, promotions et nouveautés. Un cadeau de bienvenue vous attend dès votre inscription : http://bit.ly/S1scrire Bibliographie : recettesenfamille, topsante.net) 📌 ÉPHÉMÉRIDE 2019
Bonjour à tous. Aujourd’hui, nous sommes le lundi 30 Septembre. C'est la St Jérôme, bonne fête à toutes ces personnes. Si vous en connaissez un parmi votre entourage, n'oubliez pas de la lui souhaiter. La citation du jour est la suivante : «Le bonheur est toujours une idée neuve». Qu'en pensez-vous ? Belle journée à vous 🐝🍀 #éphéméride #date #quotidien #saintdujour #fêtedujour #citations #inspiration #motivation #positif #optimiste Voici une image tout à fait ordinaire. Une banale chaussure à lacets. À y regarder de plus près, pourriez-vous me dire de quelle couleur est celle-ci ? Prenez quelques secondes pour bien identifier la couleur et répondez-moi dans l’espace prévue à cet effet. Je n’ose l’imaginer mais vous pensez probablement que tout cela est si facile que ce test n’est que stupidité. Et pourtant… Voyez-vous même. Si cette chaussure vous apparaît Rose et Blanche, c’est que vous « cerveau droit » est dominant. En revanche, si votre « cerveau gauche » domine, alors vous voyez un joli Vert et Gris apparaître à l’écran. Faites le test auprès de vos amis, de vos proches et même à vos enfants en partageant cet article. Il est très intéressant de découvrir cette particularité qui permet d’identifier votre caractère ainsi que votre manière de percevoir la vie. Sachez que le cerveau gauche est analytique, numérique, logique, scientifique, pensée systématique. Le cerveau droit, lui, parle de créativité, musique, art, esprit subconscient, compétence multitâche, pensée synthétique. Alors, de quelle couleur voyez-vous cette chaussure ? À propos de test de couleur, voici une méthode plus scientifique que je vous invite également à découvrir. Test de perception des couleurs Ce test a été inventé par Shinobu Ishihara en 1917. C’est actuellement le plus utilisé pour déceler un symptôme de daltonisme chez un patient. La nature qualitative et non quantitative des données récoltées ne permettra pas à ce test de déceler le degré de daltonisme atteint. Il est cependant reconnu comme très fiable (dans certains cas, il permet de déceler un daltonisme héréditaire avec un taux de fiabilité pouvant atteindre 98%). Composé de 38 planches de couleurs différentes, ce test est du type “pseudoisochromatiques” (outil d’analyse de perception des couleurs mettant en évidence les anomalies liées). Ces dernières sont composées de petits cercles de couleurs différentes faisant ressortir un chiffre que le candidat devra reconnaitre. Il permet de mettre en évidence une éventuelle difficulté dans la perception des couleurs. Une personne atteinte de daltonisme ne pourra pas déchiffrer cette planche. Le spécialiste pourra alors identifier la couleur qui n'est pas perçue. A votre tour! Vérifiez votre bonne perception des couleurs grâce aux planches ci-dessous (ces dernières sont issues du test d’Ishihara, il s’agit respectivement des planches n°1, 7, 13 et 23). Si vous éprouvez des difficultés lors de la lecture de l’une d’entre-elles, veuillez consulter un spécialiste. Résultats attendus : N°1 : Cette planche permet de vérifier la fiabilité des réponses fournies par le patient. Le numéro 12 est normalement visible par tout type de personne. N°2 : Si le numéro 74 ressort de cette planche, vous ne possédez pas de symptômes. En revanche, la vision du chiffre 71 permet de déceler une possible déficience rouge-vert. N°3 : Un patient avec une vision normale pourra lire le n°6. D’un autre côté, la plupart des dischromates ne verront rien (ou de façon erronée). N°4 : Cette planche permet de déceler 2 types d’anomalies. Un patient qui voit le chiffre 2 sera probablement atteint de déficience pour la couleur rouge. Une personne observant un 4 sera, quant à lui, certainement déficient du vert. Finalement, une vision normale percevra le 42. Le résultat obtenu lors de ce test n’a pas de valeur médicale. En effet, il ne vous est pas présenté dans son intégralité. Si vous présentez des symptômes, nous vous invitons à prendre contact avec un ophtalmologue en mesure de vous faire passer un examen complet de l’oeil. Le diagnostic de ce dernier est le seul à prendre en compte définitivement. Il est préconisé d’effectuer un contrôle ophtalmique tous les 18 mois. Daltonisme: Le daltonisme est une maladie liée à l’œil parmi les plus connues. Cette dernière se traduit par un trouble de la perception des couleurs. Généralement, le daltonien ne pourra pas utiliser l’un des 3 canaux dont nous disposons habituellement qui sont : le rouge, le vert et le bleu. Une personne atteinte de daltonisme peut présenter 3 types d’anomalies dites “dychromates”:
Certains cas avancés sont appelés achromatopsies. Ces derniers ne peuvent distinguer uniquement que des nuances de gris. Partagez le test auprès de vos amis, de vos proches et même à vos enfants Article inspiré par Karima Rostane Source : Guilde des lunetiers La rentrée des classesJe n'aime pas trop l'école. Cette année, en plus, je redouble. Ça m'a énervé, parce qu'ils ont fait passer tout le monde, sauf moi. Ils ont dit que j'étais trop lent. Ça se voit qu'ils ne m'ont jamais vu courir ! Je cours aussi vite que le héros du film quand la grosse langue de lave brûlante veut le rattraper pour le carboniser ! Je cours aussi vite que parfois, même mon ombre n’arrive pas à me suivre ! Mais je ne leur ai pas dit. Ils se seraient fichus de mes courses, de mon ombre, de tout ça, je le sais bien. J'ai juste pleuré un peu, en cachette, dans les toilettes (c'est le seul endroit où on peut pleurer à l'école, partout ailleurs, c'est plein d’yeux qui vous guettent). Déjà que je n'avais pas trop de copains, maintenant je n'en ai plus du tout. Bon, c'est encore le début de l'année, ça peut s’arranger – enfin c'est ce que maman m'assure… Elle dit toujours des trucs comme ça, pour me remonter le moral ; je fais semblant de la croire, pour ne pas lui faire de peine, mais j'ai constaté que la vie était souvent plus dur pour les enfants que ce que croient les mamans. Je n'aime pas trop l'école, parce que les autres se moquent de moi. Pourquoi ils se moquent ? Pour des tas de raisons, je crois : parce que souvent je bégaye, parce que je ne comprends pas tout immédiatement, parce que j'ai toujours envie d'être ailleurs qu'en classe, parce que je rêve. Je ne suis pas heureux, à l'école. Mais j'aime bien y aller. Je veux dire le chemin pour y aller. J'y vais toujours tout seul, en liberté. Partout ailleurs, il y a quelqu'un qui me commande : « Fais-ci, fais-ça, pas comme ci, pas comme ça… » C’est tuant !
Dans la rue, je fais ce que je veux. Je décide : je vais sauter cette flaque, et hop, je la saute. Je vais shooter dans ce marron, et je shoote. Personne pour me contrarier ! Dans la rue, je suis le roi ! Ailleurs, c'est une autre paire de manches, comme dit mon papy. Source : Jo Hoestlandt, « Tu peux toujours courir » Nathan Poche 2005 Je me souviens d'un canonnier qui lisait dans les mains. Il était bûcheron de son métier et formé par cette vie sauvage à l'interprétation immédiate des signes ; je suppose qu'à l'imitation de quelque autre sorcier il s'était mis à observer aussi le creux des mains ; et c'était là qu'il lisait la pensée, comme nous faisons tous dans le regard et dans les plis du visage. Au bois des Clairs Chênes, à la lueur d'une bougie, il retrouvait son temple et sa majesté, disant au sujet des caractères des choses souvent justes et toujours mesurées, annonçant aussi l'avenir prochain et l'avenir lointain de chacun, choses qui ne font point rire. Et j'eus occasion de remarquer dans la suite qu'une de ses prédictions se trouva vérifiée ; en quoi sans doute j'ajoutais quelque chose au souvenir, car il m'était agréable de retrouver la prédiction dans l'événement. Ce jeu de l'imagination m'avertit une fois de plus, et me confirma dans la prudence que j'ai toujours suivie ; car je n'ai montré les lignes de ma main ni à lui ni à aucun autre. Toute la force de l'incrédulité est en ceci qu'on ne veut point consulter l'oracle ; dès qu'on le consulte, il faut y croire un peu. Aussi la fin des oracles, qui marque la révolution chrétienne, n'est-elle pas un petit événement. Thalès, Bias, Démocrite et les autres vieillards fameux des temps anciens avaient sans doute une tension artérielle peu satisfaisante dans le temps où ils commençaient à perdre leurs cheveux, mais ils n'en savaient rien ; ce n'était pas un petit avantage. Les solitaires de la Thébaïde se trouvaient encore mieux placés ; comme ils espéraient la mort au lieu de la craindre, ils vivaient très longtemps. Si l'on étudiait physiologiquement et de très près l'inquiétude et la crainte, on verrait que ce sont des maladies qui s'ajoutent aux autres et en précipitent le cours, en sorte que celui qui sait qu'il est malade, et qui le sait d'avance d'après l'oracle médecin, se trouve deux fois malade. Je vois bien que la crainte nous conduit à combattre la maladie par le régime et les remèdes ; mais quel régime et quels remèdes nous guériront de craindre ? Le vertige qui nous prend sur les hauteurs est une maladie véritable, qui vient de ce que nous mimons la chute et les mouvements désespérés d'un homme qui tombe. Ce mal est tout d'imagination. La colique du candidat de même ; ainsi la crainte de répondre mal agit aussi énergiquement que l'huile de ricin. Mesurez d'après cela les effets d'une crainte continuelle.
Mais pour se rendre prudent à l'égard de la prudence, il faut arriver à considérer ceci, que les mouvements de la crainte vont naturellement à aggraver le mal. Celui qui craint de ne pas dormir est mal disposé pour dormir, et celui qui craint son estomac est mal disposé pour digérer. Il faudrait donc mimer la santé plutôt que la maladie. Cette gymnastique n'est pas connue dans ses détails, mais on peut parier que les gestes de la politesse et de la bienveillance se rapportent à la santé, d'après cette sorte de théorème selon lequel les signes de la santé ne sont autres que les mouvements conformes à la santé. Les mauvais médecins seraient donc ceux qu'on aime assez pour vouloir les intéresser à ses propres maux ; et les bons médecins sont ceux au contraire qui vous demandent selon l'usage : « Comment allez-vous ? » et qui n'écoutent pas la réponse. 5 mars 1922 Alain Émile Chartier (1868-1951) Propos sur le bonheur (1928) C'est l’heure de votre anniversaire, mais vous semblez hésiter à le fêter… Avec l’âge, vous négligez cet événement en pensant qu’il n’est plus si important de marquer le coup chaque année. Est-ce que « prendre un coup de vieux » vous rend triste ? Même l’incontournable cadeau ne vous apporte plus d’enthousiasme. Que vous arrive-t-il ? Et pourtant… L'effet anniversaire Quoique vous en pensiez, fêter son anniversaire est une occasion unique de se réjouir. C’est également la bonne période pour faire un bilan objectif de sa vie et pourquoi ne pas positiver chaque période de l'année écoulée. Curieusement, j’ai remarqué que certaines personnes se sentent relativement tendues à l’idée de célébrer le jour de leur naissance. Comme si le temps agissait négativement contre eux. Certaines personnes refusent catégoriquement de marquer ce jour. En revanche, pour d’autres, c’est tout le contraire. Ils se montrent plus euphoriques que jamais et sont galvanisés par l’idée de célébrer cet événement. Ils sont tellement excités qu’ils nous le rebattent aux oreilles des mois à l’avance. Ils ne pensent qu’à cela et vous le font bien remarquer. Alors que pensez-vous de « fêter votre anniversaire » ? Faut-il fêter son anniversaire ? Tout d’abord, sachez qu’en matière d’anniversaire, il y a plusieurs écoles. Comme nous venons de le voir, il y a celle ou celui qui considère que leur anniversaire est le jour le plus important de leur vie. Et puis, il y a les autres, ceux qui font profil bas. Ceux dont on ne connaît jamais quand arrive la fameuse date. Toutefois, entre les «fêtards égocentriques» et les «adeptes du mystère», il y a un les entre-deux, dont tout le monde connaît l’anniversaire, mais qui ne le fête jamais, ou alors seulement en petit comité restreint, voire en privé. Peut-être appartenez-vous à cette dernière catégorie. Si, depuis votre adolescence, vous pensez ne pas avoir fêté (comme il se doit) un seul de vos anniversaires, c’est bien le cas ! Faire la fête, le jour de son anniversaire Ce que je veux dire par fêter son anniversaire, c’est vraiment fêter. Du genre, plus de dix personnes autour d’un magnifique gâteau, enjolivé de bougies flamboyantes. Une ambiance amicale (un peu déjantée), au son des derniers tubes à la mode pour trinquer entre amis. Danser, bouger et sauter partout. La bonne humeur étant de rigueur, elle s’accompagne obligatoirement de bavardages futiles et d’interminables fous rires. Surprises et cadeaux sont de rigueur. Bref, vous l’avez compris, le verbe « fêter » est conjugué à la première personne du singulier car la fête est au rendez-vous. Et célébrer « en grande pompe » son anniversaire présente bien des avantages. Tout d’abord, celui d’être assuré de ne pas être seul(e) à cette date. Rien de tel que de partager un moment de joie avec des personnes que l’on apprécie ! Mais fêter son anniversaire est l’occasion de sortir de sa zone de confort et d’oser franchir de nouvelles étapes dans sa vie. Et la bonne nouvelle, c’est que tout vous est autorisé (ou presque) ce jour-là. Si vous hésitez encore, voici pour 7 vraies raisons de fêter votre anniversaire. 1- Premièrement : vous allez enfin profiter de l’aubaine pour porter cette horrible chemise à paillettes sur laquelle vous avez craqué pendant les soldes (il y a presque trois ans déjà) mais que vous n’aviez pu enfiler, faute d’événement important. Une occasion unique de devenir, l’espace d’une journée, un vrai centre d’intérêt et pouvoir vous permettre de vous comporter comme « une petite princesse ». 2- Deuxièmement : Refaire la décoration intérieure de votre salon dans des couleurs « pop » le temps de la fête : Boule à facettes, spots de couleur, posters du groupe « Gold » plaqués au mur et l’indispensable vaisselle jetable, achetée sur un coup de tête dans un magasin de déstockage. Une vaisselle dont vous n’avez vraiment pas l’utilité en temps normal mais sur laquelle vous avez littéralement flashé pour l’occasion. 3- Troisièmement : Avoir l’excuse d’installer « un Candy bar » ou mieux encore, « un bar à gaufres » dans votre salon. Une bonne excuse pour retomber en enfance, le temps d’une journée (voire un peu plus). Un parfait alibi pour s’empiffrer sans culpabiliser, vu que les sucreries, les friandises et le chocolat sont sans effet ce jour-là ; ça ne compte pas. D’ailleurs, tout le monde sait que que les calories n’ont aucun impact sur votre silhouette le jour de votre anniversaire. 4- Quatrièmement : Avoir l’occasion de réunir toute sa famille et ses amis sans avoir à attendre le prochain enterrement pour ça. Une chance unique d’inviter également vos voisins, collègues de bureau et même la concierge de l’immeuble, histoire de joindre l’utile à l’agréable en leur présentant la dernière opportunité MLM. 5- Cinquièmement : Avoir une excuse pour écouter votre play-list de la honte en public (NB : personne ne vous croira quand vous prétendrez que « c’est du second degré »). Et si vous n’assumez vraiment pas, vous pouvez toujours consulter GOOGLE et trouver un DJ pour un anniversaire, en veillant à bien le briefer sur le genre de musique que vous aimez. 6- Sixièmement : Pour rentabiliser vos trois années de cours de Salsa. Ainsi vous pourrez vous trémousser sur le tapis du salon, manière de montrer vos talents de danseur « star ». Une chorégraphie presque réussie dans un rythme tropical où tout le monde admirera (le mot est un peu fort) votre élégance naturelle. 7– Septièmement : Enfin, on ne va pas se mentir. La 7e et dernière raison de fêter son anniversaire est celle de recevoir des cadeaux. Et c’est probablement l’unique raison pour bons nombres d’entre nous. Car, vous n’y échappez pas. Comme tout le monde, vous aimez recevoir des cadeaux. Aussi, c’est le moment de mettre à profit les cours de théâtre qui ont ruiné vos parents depuis vos 5 ans, en jouant votre meilleur rôle : Celui le plus hypocrite qui soit, celui de l’air surpris. « Quelle belle surprise » et d’ajouter : « Aah ! Fallait pas… » (alors que vous en mourriez envie). " Joyeux anniversaire ! " tout de même. Vous l’avez bien compris, depuis l'enfance, le gâteau, les bougies, les amis, les chants, la famille et les cadeaux sont associés à cette phrase rituelle. Logiquement, la date anniversaire n'est pas un événement comme les autres. Elle marque notre entrée dans ce monde, et nous suit comme notre ombre. Sur tous les documents officiels, à l'école, à l'université, elle reste apposée à notre nom, comme un compagnon fidèle. Et c’est ainsi pour chacun de nous. Dès lors, pour les psychologues (personnage sérieux et caution scientifique de cette chronique), il est évident que nous ne nous comportons pas exactement de la même façon à l'approche de notre anniversaire, ou dans les jours ou semaines qui suivent. Lorsqu'on se penche sur les études scientifiques établissant des liens entre cette date et d'autres aspects de notre vie, on découvre des faits surprenants. Mauvaise nouvelle : Fêter son anniversaire augmente le risque de décès. Et ceci n’est pas une blague. Trace implacable de notre naissance, la date anniversaire est également liée celle de notre mort. C'est ce qu'ont tristement constaté les psychologues Albert Harrison, de l'Université de Californie à Davis, et Michael Moore, de l'Institut de technologie d’Haïfa en Israël. Durant des années, ils ont examiné la mortalité des individus dans les jours qui précèdent ou suivent leur date d'anniversaire. Ils ont observé que la fréquence des décès augmente durant les deux jours qui précèdent cette date, et baisse le lendemain. Quant au psychologue John Wood, de l'Université du Wisconsin, il a mis en évidence, en examinant les statistiques de décès de personnes âgées de plus de 75 ans, une augmentation de 33 % des décès d'origine cardio-vasculaire dans les trois jours qui entourent la date anniversaire. Selon les psychologues, l'anniversaire est source de stress et d'anxiété. Cette anxiété, chez certaines personnes fragiles, augmenterait le risque d'accidents cardio-vasculaires. La hausse de mortalité qui précède l'événement est suivie d'un retour à la normale, le décès de certains patients ayant été « avancé » à cause du stress. Tout dépend évidemment de la condition physique préalable des individus car chez les personnes célèbres, on constate l'effet inverse. Curieux non ? Enfin pour conclure à la façon du psychosociologue Pierre Tap, j’aimerais attirer votre attention sur cette courte phrase « bon anniversaire » que l’on évoque en France. Une sémantique peu adaptée qui démontre notre manque de foi en la personne car d’une certaine manière nous préférons lui souhaiter « une bonne journée » plutôt qu’une journée « joyeuse ». Au Portugal, l'anniversaire est d'emblée vécu comme une réussite : on vous félicite de prendre un an de plus, « Feliz Aniversario » Comme le bon vin, vous vous bonifiez d'année en année. On comprend alors mieux, le sens du mot « joyeux ». Aussi, avant de refermer définitivement ce billet, j’aimerais vous formuler de tout coeur, un souhait sincère en cette journée qui vous honore : un bon gros « Joyeux Anniversaire » et vous dire combien je suis heureux pour vous. Longue vie et belle santé à vous.
Le reste suivra… parole d'optimiste ! La mortalité des abeilles est en hausse constante et certains anticipent déjà un monde où elles seraient en voie de disparition. Élevages d'abeilles reines, drones pollinisateurs… quelles solutions pour les remplacer ? Chaque année, les mêmes images : des apiculteurs désemparés découvrent leurs abeilles mortes au sortir de l’hiver et brûlent leurs ruches désormais inutiles dans d’immenses bûchers. La mortalité des abeilles est en hausse constante et certains anticipent déjà un monde où elles seraient en voie de disparition. L'élevage de reines d'abeilles, un secteur florissant Pendant que des scientifiques cherchent quel mal frappe les abeilles, à Malte, un chef d’entreprise a flairé la bonne affaire et élève des reines d'abeilles, les seules capables de pondre, qu’il expédie par colis dans toute l’Europe. Il en envoie plus de 1 000 par semaine. Aux Etats-Unis, certains agriculteurs font appel à des drones pollinisateurs, qui font le travail que les abeilles ne sont plus assez nombreuses à accomplir. Un reportage de Marion Leclercq et Antoine Cadaux (Agence Capa) C'est le moment phare de cette période de l'année. Le moment le plus attendu par des milliers d'écoliers : La rentrée scolaire. Finies les vacances, les grasses matinées, les repas à l'heure espagnole et les interminables parties de boules entre copains. Terminées les balades en forêts ou les baignades en rivière. Oubliés les plongeons dans une mer turquoise et les parties de rigolades jusqu'au bout de la nuit. Ce matin, place au sérieux du tableau blanc, place à une nouvelle saison d'apprentissage avec son lot de bonnes nouvelles. En 7 points amusants, j'ai voulu dresser un état des lieux d'une rentrée plus positives avec comme exemples ceci : #1 La possibilité d’acheter de nouvelles fournitures afin de les étaler au grand jour : on ne va pas se mentir, les fournitures scolaires représentent un attrait et l'on est fier de pouvoir les posséder et les montrer. Que ce soit le dernier sac très tendance, l’agenda coloré ou les stylos dernier "cri", tous les prétextes sont bons pourvu que ça soit dans la vague de la nouveauté. C'est bien normal, acheter de nouvelles fournitures scolaires, c'est s'équiper pour la saison et il semble inconvenable de démarrer sa rentrée avec du matériel usagé... #2 Les nouvelles collections de vêtements sortent : C'est le moment préféré de toutes les "coquettes" mais ai-je vraiment besoin d’expliquer en quoi cela est vraiment cool… Ce matin, regardez autours de vous et vous comprendrez combien l'apparence de nos chères têtes blondes est importantes. Une source de motivation supplémentaire. #3 Les activités culturelles reprennent : je ne sais pas si vous l'avez déjà remarqué, mais durant toutes la période estival, c’est "saison morte" en ce qui concerne les évènements culturels et sportifs (enfin, quand il n’y a pas les JO, la coupe du monde de football ou les concerts et des spectacles de l'été). Et qui dit activités culturelles, dit naturellement "les séries" ! Car oui, le mois de septembre est aussi le mois de la rentrée des séries télévisées. De quoi contenter nos petits coeurs tout tristes de devoir reprendre nos bonnes habitudes scolaires .Alors renouer avec ce qu’on aime, nos héros du moment et les interminables histoires télévisées est un moyen d'accepter plus facilement la fin de l'été. #4 L’espoir d’être dans la classe de… ton/ta meilleur(e) ami(e), de ton crush formidable, ton/ta BFF ou juste ta bande de potes habituelle ; au choix ! Dans tous les cas, la répartition des classes c’est un peu comme une salade de fruits : on sait jamais sur quoi on va tomber. Mais au moins, vous pouvez prendre les paris et vous transformer en "tireuse de cartes", l'espace d'une matinée. Un moyen amusant de spéculer sur l'emplacement des classes de vos petits camarades, former des couples improbables et de vous amuser entre amis. #5 L’occasion d’un nouveau départ : Quand vous arrivez dans un nouvel établissement c’est encore mieux. Certes, vous ne connaissez encore personne. Mais ce qui est merveilleux, c’est que tout un univers de possibles s’offre à vous. Un univers où personne ne connaitra réellement votre passé. Personne ne s'aura véritablement toutes les bêtises et indélicatesses que vous aurez commises les années précédentes. Et ça, j'ai vraiment génial. C'est l'occasion rêvée de repartir à zéro ! #6 Le début d’un climat plus sympa : la rentrée signifie plusieurs choses. À commencer par moins de désagréments du point de vue dermato ; piqûres de moustique, coups de soleil, tâches brunâtres, rougeurs, etc.. Ça veut aussi dire "bye bye" canicule. L'’automne n’est pas loin, et vous savez combien l’automne est la plus belle saison de l'année avec ses couleurs magnifiques. L'été indien comme le chante joe Dassin dans sa chanson.
#7 Frimer avec ton bronzage car le soleil est gratuit et présent (presque) partout… Que vous soyez partie en vacances ou non, vous avez sûrement profiter du soleil ? Cette année celui-ci n'a pas manquer son rendez-vous et vous a offert son lot de "canicule". Certes, vous avez raisonnablement goûtez à caresses brûlantes sans jamais cherché à cuire comme une saucisse sur un barbecue. C’est donc pour vous l’occasion appropriée de "frimer un peu" en parlant vacances et bronzage. Et rien qu’avec ça, on se sent déjà mieux même si cela ne vous empêchera pas de devoir pointer votre museau en classe. Un avantage tout de même : Cela adoucira un peu votre première journée ! Et vous, quelles sont vos astuces positives pour bien vivre cette rentrée 2019 ? |
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